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Message posté par : Adonis H. Knox
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Adonis H. Knox
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Adonis H. Knox
Adonis
Aime : Dormir dans une baignoire, taquiner sa soeur, regarder les Ch'ti pour savoir comment faire
Déteste : Qu'on lui vende des trucs, la nourriture salée, les trains, les piscines
Talent : Ralentir le temps et s'humilier en public (Surtout le deuxième)
Ennemi Naturel : L'Ennui et les traversins.
Couleur préférée : L'Orange clair
Expérience : 600

Secret Garden
Rang: Count/Eldest
Niveau:
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Couronne(s): 40 ¤
Sam 25 Nov - 18:42
Il faisait froid. Si froid, si terne. La nuit était lourde, la nuit semblait enveloppée le monde de son entreinte. Il fallait pas faire la fin bouche avec le froid aujourd'hui, -tout mais pas aujourd'hui.-
Il fallait serrer les dents et regarder devant. Oui, Adonis savait regarder devant. On pouvait pas le nier. Devant lui, un immeuble. Ce certain « Bernard Carpette » logeait vraisemsablement ici. Pas de doute possible, ce magnifique patronyme était marqué sur la sonnette. Il était aussi vrai aujourd'hui que deux approches étaient possibles. Soit grimper au premier étage pour faire une interrogation en bonne et dû forme. Soit, sonner tranquillement pour demander poliment si ce cher Bernard Carpe-Diem- accepterai de laisser rentrer un parfait inconnu. La réponse semblait aller de soi non ?
Prenant son courage à deux mains, il attrapa de pleines mains la première rembarde du premier étage. Et c'est à ce moment là, qu'Adonis remercia ses longs et fatiguants exercises de musculations.

Bien heureusement, la nuit était profonde et personne ne pouvait le distinguer dans l'ombre. Avec son épais manteau et ses poils vénitiens cachés par sa capuche, il ressemblait bien plus à une mauvaise creepypasta qu'à un Traqueur en quête de vérité.
Tandis que son corps montait presque manuellement, son esprit divaguait. Une épidémie parmi les mages et non-mages. Le rapport mentionnait beaucoup de choses qu'Adonis n'avait comprit la gravité que tardivement. Les mages étaient deux fois plus touchés que les non mages. Mais cependant, les mages avaient la particularité d'avoir des sensations moins modifiés que les non mages.

Cela pouvait signifer deux choses. Les mages attirent plus facilement cette maladie qui est d'origine magique. Deux, les circuits magiques bloquent l'aggravation des perceptions faussés.

Arrivé à l'étage, Adonis se souleva une dernière fois pour se déposer souplement pour arriver sur le balcon. La fenêtre à sa grande chance, était largement ouverte. Se faufilant dans la chambre horriblement décoré de cet homme, la première chose qui ressentit était la douceur des couvertures sous ses pieds. L'homme dormait ventre contre ce matelas nu. Ayant jeté toutes les couvertures sur le sol. C'était pertinant au vu du mal dont il était affublé. S'asseyant à côté du corps inerte, il n'eut même pas besoin de prononcer un mot quand l'homme se releva, le regard hagard.

-Non, j'ai pas voté Pou…Attendez…

Pas le temps de niaiser, Adonis n'eut pas un demi sourire à cette incartade politique. Heureusement qu'il a apprit à maîtriser basiquement le français. On remercie son amie de chambre à la tour de l'horloge.

-Je suis pas venu pour vous faire mal.

Attrapant d'une main mal assuré sa paire de lunette, l'homme regarda Adonis du mieux qu'il le put.

-Vous me faites déjà mal aux oreilles. Sortez de chez moi !

Les sourcils d'Adonis se froncèrent, agacés.

-Je pense..que..vous n'êtes pas en hauteur de me dire quelque chose.

Le vieillard semblait de plus enervé, tentant de se lever avant qu'Adonis appuie sa main sur son torse. Il pouvait être aussi doux et tolérant que tu le veux. Mais, le travail est sacré. Et cette peau de poussière l'empêche de le faire.

-Monsieur. Je suis effrayé par le fait que je suis âgé de moins de quarante ans que vous. Et que vous êtes malade. Je viens pour vous..soigner. Du moins « comprendre » comment.
L'homme se rassit et le foudroya du regard. Si le regard pouvait tuer, Adonis serai mort depuis belle lurette. Surtout des yeux de sa sœur.

-Bien. Imaginons que vous ayez raison. Comment puis-je vous aider jeune Damoiseau ?

Alors, Adonis n'a pas bien compris ce que signifier Damoiseau. Mais il va le prendre bien, sinon, il va se retrouver à le traiter de Mistkerl .

-Pouvez vous me décrire, votre bain. Ils sembleraient que vous soyez le premier homme...atteint de la peste jaune.

L'homme semblait un peu ailleurs à cette question, son visage tout rouge de sueur.

-Eh bien…. J'ai mis dans mon bain un peu de mousse à bain. Après avoir trempé mon orteil dedans, j'ai eu brusquement très chaud dans tout mon corps. J'ai pas vraiment compris sur le coup, alors j'ai mis tout mon corps dans l'eau. Elle était délicieusement fraîche. Elle devenait curieusement chaude par moments. Alors j'ai laissé coulé l'eau froide. Ce fut une bénédiction pour moi de pouvoir me baigner dans cette eau.

Si Adonis pouvait se facepalm en paix, il le ferai. Tout venait donc de cette mousse, La peste jaune était transmissible par la sueur, la saison presque hivernale était parfaite. Abordant doucement ce point avec presque du tact.

-Monsieur Carpette ; Comment vous êtes vous procurés cette mousse ?

L'homme semblait dubitatif avant de hausser les épaules.

-Eh bien. Un vendeur en bas de la rue me l'a vendu. C''était un si gentilf garçon, vous savez qu'il venait me voir quasiment tout les jours. Plus besoin d'aller parler à la caissière pour avoir un ami.

Le malaise brusque d'Adonis fut presque tangible. Ouf, il faudrait qu'il aie dire bonjour à son propre père. Un jour peut-être.
-Pouvez vous me parler plus de cette homme je vous prie ?

Le vieillard se tapota le nez.

-Eh bien. Il était vendeur à domicile. Sans doute la vingtaine, il trempait dans des trucs pas très catholiques vous voyez. Il m'a parlé d'un truc qui s'appelle comme une merde biblique. J'ai toujours été juif moi t'façon.

Et l'homme a continué de parler tandis que l'esprit d'Anatole virevoltait. Il fallait qu'il récupère ce flacon, le plus tôt sera le mieux. Et ce bavardage incessant le fatigue grandement.

-C'est pour ça que j'ai dis à Germaine de virer ces immigrés de son parking.

-Excusez moi de vous interrompre. Mais pouvez-vous me donner le flacon ? Je pourrai vous dédommager si besoin.

L'homme fit une mine boudeuse rapidement avant de lever mollement la main. Il savait bien qu'il n'avait pas son mot à dire face à ce géant qu'était Adonis.

-Trosième porte dans le couloir, le flacon est sur la baignoire.

Adonis ne dit ni Amen ni Merde, et il se précipta pour récupérer ce flacon. Ecrit dans un français assez difficile à lire pour un non-adepte comme Adonis, il comprit cependant « Pour le bain ». Sortant un sachet de sa poche, il l'emballa précieusement dedans. Si cette chose pouvait transmettre la peste jaune, il fallait absolument éviter le moindre contact direct tant qu'il n'aurai pas le matériel nécessaire.

Revenant dans le salon, il n'eut plus aucun raison de converser avec cet excentrique vieillard et il ne lui offrit qu'un salut aussi rapide que froid avant de sortir le plus rapidement possible. Son long manteau claquant dans l'air, il avait l'air presque beau avec cette fierté gravée sur son visage.

Quelque jour plus tard.


Le resultat était tombé. Adonis avait fait bien correctement ses tests, tout mesurés précisément. Rien n'avait pu lui échapper et voilà que cela tombait. Ce flacon avait la plus haute teneur de Eucaryopestilus, bactérie artificiellement crée par la magie. L'histoire était donc fini, on avait trouvé la source de la maladie. Mais, la question était pourquoi ?

Pourquoi ce flacon a été vendu ?

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